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Mon expérience au demi-Ironman de Mont-Tremblant : une aventure humaine, physique et mentale

  • Photo du rédacteur: François Perron
    François Perron
  • 30 juin
  • 3 min de lecture

Le 23 juin 2025, j’ai complété le Ironman 70.3 de Mont-Tremblant.Un moment marquant dans ma vie d’athlète amateur, mais aussi dans ma vie personnelle et professionnelle. En tant que chiropraticien, passionné de santé et de défis physiques, cette course m’a appris beaucoup plus que je ne l’aurais imaginé. Voici un petit retour sur cette journée inoubliable.

Avant la course : les mois de préparation

J’ai commencé ma préparation plusieurs mois à l’avance. J’avais une bonne base en vélo, je courais de manière régulière, et la natation était… disons, un défi technique!

J’ai structuré mon entraînement autour de mon horaire de travail à la clinique. Pas toujours facile de concilier les longues sorties de vélo, les « brick workouts » et les nuits de récupération quand on traite des patients toute la journée! Mais je voyais ce défi comme une opportunité d’incarner ce que je prône au quotidien : bouger, s’écouter, se dépasser intelligemment.

Les dernières semaines, j’ai diminué le volume pour laisser place à une bonne récupération. Mon objectif : profiter de la journée, sans pression de performance.

Le jour J : émotions, adrénaline et stratégie

🏊 1.9 km de nage

Le départ dans le lac Tremblant, sous le lever du soleil, reste un des plus beaux souvenirs.L’eau était calme, la température parfaite. Les premiers mètres ont été chaotiques – beaucoup de monde, beaucoup de coups – mais j’ai vite trouvé mon rythme. Mon objectif était simple : rester calme, garder une respiration fluide et avancer. Mission accomplie.

🚴 90 km de vélo

C’est ici que je me suis le plus amusé. J’adore le vélo, et le parcours de Mont-Tremblant est magnifique (et exigeant!).Les montées sur Duplessis font mal aux jambes, mais la vue en haut et les descentes en valent la peine. J’ai bien géré mon effort et ma nutrition, en gardant toujours en tête de préserver mes jambes pour la course à pied.

🏃 21.1 km de course

La partie la plus mentale. Il faisait chaud, mes jambes étaient lourdes, et chaque pas me rappelait que je faisais quelque chose de grand.Mais l’ambiance était électrisante : les encouragements des spectateurs, les bénévoles souriants, les autres coureurs. J’ai couru avec le sourire, même quand ça piquait. Et quand j’ai vu l’arche d’arrivée… l’émotion a tout simplement pris le dessus.

Ce que j’en retire

Ce demi-Ironman, ce n’est pas juste une course.C’est un parcours personnel. C’est des matins à 5 h d’entraînement, des soirs où on doute, des jours où on se surprend. C’est aussi une leçon d’humilité et de patience.

En tant que professionnel de la santé, je ressors de cette expérience avec encore plus de respect pour le corps humain, sa résilience et sa capacité d’adaptation. Et aussi avec un message fort à transmettre : on est tous capables de plus qu’on pense.

Et maintenant?

Je savoure encore l’après-course. Les jambes sont revenues à la normale, les courbatures aussi!Mais surtout, j’ai une immense fierté. Et un feu intérieur qui me pousse à penser : « À quand le prochain défi? »

Si toi aussi tu rêves de tenter un triathlon, un demi-marathon ou toute autre épreuve, fonce. Ce n’est pas toujours facile, mais c’est toujours enrichissant.

Tu veux que je t’aide à le formater en article Web (avec titres H2, boutons de partage, ou version bilingue)? Je peux aussi t’écrire une courte version pour Facebook ou Instagram.

 
 
 

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